Au nord de la Tunisie, une école de breakdance permet de rêver à un avenir meilleur
Les danseurs venus encadrer le stage ont été bluffés par le niveau proposé par les Ghar boys, les breakers de Semmama. ( – ) Nicolas Fauqué L’Équipe
Le stage ne sera pas qu’une partie de plaisir pour les athlètes autodidactes. Il leur faudra deux jours pour effectuer les pas de base (toprocks) les plus simples qu’Amine leur enseigne. Rien d’extraordinaire, l’exigence d’une certaine précision pour suivre le tempo. Un exercice de rigueur auxquels les jeunes n’avaient jamais été initiés.