Au nord de la Tunisie, une école de breakdance permet de rêver à un avenir meilleur
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Nicolas Fauqué L'Équipe
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Émir, Aoued, Émir, Wissem, Saïf et Khoissay (ci-contre de gauche à droite), sont tous autodidactes de la breakdance () Nicolas Fauqué – L’Équipe
Dans l’une des salles du Centre culturel, une sono crache le meilleur du funk et du hip-hop du moment. Indifférents à tout, les breakers de Semmama, les Ghar Boys, se défient, rivalisant d’inventivité à chaque passage, toujours plus acrobatique. Ils y passent tout leur temps libre.