Le bac en poche, Aïssa Doumara finit par grandir et part deux ans faire des études de droit à l’université de Ngaoundéré, à 170 km de ses enfants, une situation « trop compliquée ». Elle revient donc et continue le droit avec les cours en ligne de l’Université de la Francophonie, passe aussi un diplôme d’analyste-programmeuse et suit des séminaires de formation aux droits humains et à la sexualité.
Aïssa Doumara, une Camerounaise dans les pas de Simone Veil

La Camerounaise Aïssa Doumara, première lauréate du prix Simone-Veil pour l’égalité hommes-femmes, au palais de l’Elysée, le 8 mars 2019. THIBAULT CAMUS/AFP)