Elle dit que l’A-TEAM « révèle une réalité très importante: il ne s’agit pas d’éthique du travail [pour les travailleurs sans papiers]. Il s’agit de [du fait] que ce travail ne doit pas être effectué dans de si mauvaises conditions et de si mauvais salaires ».
Carter est d’accord.
« Si nous avions voté le premier jour, nous serions partis », dit-il à ses amis. « Mais c’est devenu une fierté. Nous n’allions pas nous faire renvoyer, nous n’allions pas arrêter. Nous allions finir. »