Avec l’aide des « gens d’ici » et des « gens d’ailleurs », les habitants et les réfugiés, explique-t-il au micro de France Bleu ce mardi matin, il a réuni des machines à coudre, a acheté du tissus pour produire 10.000 masques « 3 plis normes Afnor », et des élastiques. « on court d’ailleurs après les élastiques, car il nous en faut 70 cm par masque : on a donc besoin de 7 km d’élastique ».
Le maire compte également se procurer une imprimante 3D.