Bray-sur-Seine, ville-laboratoire de l’accueil des réfugiés à l’heure des municipales

Une angoisse étreint depuis plusieurs jours Sophie Mangoyo-Malonda. La Congolaise de 70 ans, qui doit quitter le centre pour réfugiés de Bray-sur-Seine, va gagner son autonomie mais craint d’être « totalement abandonnée » dans ce bourg, où la question migratoire agite la campagne municipale.

reportage de l’Agence France Presse par Christophe Archambault, publié sur le site challenges.fr, le 20 02 20