Le “seul journal positif d’Inde” se donne pour mission de distribuer de l’espoir

Des articles, comme par exemple, celui d’une petite fille de 10 ans issue d’un milieu défavorisé qui gère une bibliothèque pour les enfants de son bidonville ; d’un Israélien qui s’est installé en Inde et a planté une forêt comestible sur 28 hectares de terres arides ; d’un couple qui a lancé une fondation pour les enfants atteints de maladies orphelines après avoir perdu leur petite fille ; d’un artiste allemand en train de transformer un village de l’Himachal Pradesh en un centre artistique pour stimuler le tourisme et améliorer les moyens d’existence des habitants, et bien d’autres encore. Ce sont ces récits qui nous ont inspirés, et nous pensons qu’ils peuvent inspirer des millions de gens.

En cette période difficile, ces articles relatant de changements positifs sont en effet réconfortants. Au lieu d’accorder de l’espace aux singeries de politiciens avides de médias ou aux commérages de troisième page, nous rencontrons des entrepreneurs et des bons samaritains. Leurs histoires, négligées par les médias traditionnels, sont mises en valeur dans les différentes rubriques de The Optimist Citizen.