Pour Bruno Falissard, pédopsychiatre et biostatisticien, directeur du Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations, « avoir un environnement qui nous étaye, c’est quelque chose qui nous fait aller bien dans la vie ».
Le cercle amical serait moins significatif que le cercle familial, d’autant plus lorsque l’on se rend compte que les 5% trouvant leur vie « nulle » voient leur taux d’insatisfaction augmenter de 5 points lorsqu’ils perdent leurs amis et de 28 points lorsque le contact familial est perdu.