D’autres témoignages, avancés par l’Observatoire international des prisons alimentent des réserves sur la responsabilité qui pèse sur les CDS. « Nous avons recueilli une vingtaine de témoignages de codétenus de soutien, qui allaient très mal après le passage à l’acte d’un codétenu, relate François Besse, coordinateur du pôle enquête à l’OIP. Il faut mettre l’accent sur la prévention primaire, en amont, à commencer par les conditions de détention, la sociabilisation, les parloirs… La surpopulation, 22 heures par jour en cellule, n’aide pas à aller mieux »
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