« Mettre l’accent sur la prévention primaire »
« Au début du dispositif, certains avaient du mal à aider les condamnés pour viol, ça a même été très très dur de les convaincre, mais on a réussi ! » note Christiane Calais, référente départementale prison-justice, qui connaît tous les codétenus de soutien. Elle sort de sa poche, une lettre de remerciement d’un ancien prisonnier. « Être codétenu de soutien n’a pas été une tâche facile. J’ai appris à prendre du recul et le sens des responsabilités », écrit-il.