

Mais le traumatisme reste vif.
Le jour où je suis revenu du Bangladesh, une Alerte a flashé sur les fils de l’AFP. Les enquêteurs de l’ONU ont déclaré que les généraux au pouvoir en Birmanie devraient être poursuivis pour génocide, rendant ainsi justice aux récits que faisaient les Rohingyas.
Il est peu probable que les généraux voient jamais le décor d’un tribunal. Et même si c’était le cas, un jugement prendrait au minimum une décennie.