La présidentielle vue par des lycéennes parisiennes

Un peu perdue entre son envie d’aider les autres, de s’investir dans le social, et son envie de faire une carrière où elle pourrait bouger à l’international – pourquoi pas aux États-Unis ou du côté des Comores –, Houza a un peu tardé à faire ses vœux sur la plateforme dédiée à l’orientation post-bac. « La veille, à minuit moins le quart, j’ai réalisé que la date butoir approchait, je me suis précipité pour faire mes lettres de motivation… Heureusement, en fait, c’était jusqu’au 2 avril inclus, du coup il me restait une journée », raconte la jeune fille. Pour les élections, ce sera un peu pareil, la décision se fera au dernier moment… « Bon, après, si je stresse trop dans l’isoloir, je le sens, je vais voter blanc ! »