Génération identitaire s’était félicitée à l’époque de la remise de quatre « clandestins » à la police et de l’arrestation de sept migrants « repérés et signalés » par leurs soins. Cette campagne, qui avait pris fin le 29 juin, ne s’est pas reproduite cette année.
A l’époque, Génération identitaire estimait que ses actions étaient protégées par l’article 73 du code pénal qui prévoit que « dans les cas de crime ou délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche ».