Les annonceurs, eux, se désolent d’être pris à partie dans un combat politique qui les dépasse. « Ce n’est pas aux marques de décider ce qui est licite ou pas. Nous ne sommes pas des censeurs de contenus », s’insurge Jean-Luc Chetrit, le directeur général de l’Union des marques. Les annonceurs sont d’autant plus sur leur garde que, cet été, Eric Bothorel, a proposé un amendement qui sanctionnerait les marques présentes sur les sites haineux. « Personne ne doit vivre de la mésinformation ou de la haine en ligne », justifie le député LRM qui prévoit de revenir à la charge ces prochains mois.
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