« Name and shame » : contre la haine, ces militants qui s’attaquent à la pub…

La campagne a fait fuir 90 % des annonceurs. En juillet, Boulevard Voltaire a porté plainte pour discrimination contre Sleeping Giants. Le site ne serait cependant pas en danger. « La publicité n’était pas notre seule source de revenus. Depuis les dons ont d’ailleurs plutôt augmenté », affirme Gabrielle Cluzel, la directrice de la publication, qui dénonce ces « corbeaux qui nous harcèlent ».

Les annonceurs, eux, se désolent d’être pris à partie dans un combat politique qui les dépasse