Mais, dans le même temps, le moment terroriste a aussi été un révélateur de la pluralité du champ associatif musulman en France et un accélérateur d’une volonté de refondation vers une représentation musulmane davantage démocratique et ouverte sur les croyants et les pratiquants ordinaires, nés et socialisés dans la société française.
Contrairement à ce qu’on entend souvent, vous mettez en avant une « banalité » des réactions des musulmans ordinaires face au terrorisme. Pouvez-vous développer ?