Les conséquences de l’immigration sur les finances publiques sont faibles. Deux études disponibles (OCDE et CEPII) concluent à un léger coût (environ – 0,3 % point de PIB) pour une raison compréhensible : les immigrés ont des salaires, donc des cotisations, plus basses (d’environ 15 %). L’âge plus faible des immigrés devrait conduire à un rééquilibrage dans le futur (ils paieront les retraites de tous) mais ce dividende démographique sera plus faible en France qu’ailleurs du fait du chômage plus élevé de cette population.
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