Mais son Alep est aussi une ville qui « meurt de soif » après la destruction des stations de pompage et une cité « aux vitres brisées » en raison des bombardements. Ce sujet fut l’occasion d’un reportage signé à la fois de lui et d’un journaliste vivant de l’autre bord de la ville divisée:
Avec le siège imposé en juillet, ses sujets ont porté sur les affres des pénuries qui contraignent les gens à ne se nourrir que de pourpier et d’aubergines, sans pain, ou encore sur la quête de carburants alternatifs. A l’occasion d’une nouvelle trêve également avortée, il décrivait dans un reportage les enfants au ventre vide qui s’amusaient sur des balançoires de fortune.