« Karam ya Karam, ça va ? Quoi de neuf ?  (making of 2)

Nous avons tout de suite pris conscience de la qualité de son travail et de son potentiel. Il est devenu notre premier contributeur à Alep ».

Deux autres photographes travaillant pour l’AFP, Thaer Mohammed et Ameer Al-Halbi, se trouvent dans la même situation que Karam.

Depuis 2012, le bureau de Beyrouth assure la couverture du conflit en Syrie. Et depuis février 2016, il « vit » au quotidien avec Karam. Il a commencé par nous fournir de brèves informations. Puis, impressionnés par sa rapidité, sa rigueur et sa précision, nous lui avons demandé des reportages.