Alep, 18 septembre 2016 (AFP / Karam Al-masri)
Vendredi 23 septembre
« Je n’ai pas fermé l’œil. L’odeur de la poudre est envahissante, je ne peux pas respirer »
« Où vais-je aller ? Nulle part. On attend la mort, à tour de rôle »
« C’est la première fois que je vois de telles destructions. Ce qui se passe maintenant est l’équivalent de tous les bombardements des trois dernières années », me dit-il au téléphone.