Créé en 2004, Racont’Arts a marqué la région en bousculant des traditions sclérosées. Le brassage des cultures, qui a ouvert les esprits, est devenu un rempart contre les salafistes. Pour l’édition 2018, plusieurs villages sont déjà candidats. « C’est par la culture qu’on vaincra la régression islamiste, et non par des discours creux », conclut le comédien M’Barek Mennad.
En Kabylie, le festival de rue Racont’Arts défie l’intolérance
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