En Kabylie, le festival de rue Racont’Arts défie l’intolérance

Le premier étage de la mosquée est réservé aux prières individuelles ; le rez-de-chaussée accueille des activités profanes. C’est là que Racont’Arts a posé ses valises, fin juillet.

« Inimaginable hors de Kabylie »

Sans budget, ce festival qui échappe aux pesanteurs bureaucratiques est bien singulier. Artistes et invités, venus de plusieurs régions d’Algérie, mais aussi de Tunisie, du Congo, de France et d’Italie, sont logés et nourris chez l’habitant.