En Kabylie, le festival de rue Racont’Arts défie l’intolérance

En une semaine, le festival a drainé des milliers de visiteurs dans une bien rare convivialité. En l’absence des gendarmes, jugés indésirables par les organisateurs, il n’y a pas eu le moindre incident, grâce au service d’ordre du village, efficace et discret.

Denis Martinez, artiste peintre et cofondateur du Festival, est aux anges : « Cette diversité, cette mixité, cette convivialité donnent de l’espoir pour le pays. Même si une telle ambiance est, pour l’instant, inimaginable en dehors de la Kabylie…»