On peut évoquer les conditions de vie qui leur sont faites, leur confinement dans des quartiers ghettos, le racisme latent, etc., et affirmer que l’urgence est de lutter contre les inégalités qui souvent les accablent. C’est pourquoi il devrait être aussi clair qu’il convient de refuser de s’enliser dans l’évocation de ce qui serait une propension à la délinquance chez les immigrés, comme s’il y avait chez eux un penchant naturel pour le délit.
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