Cet élan de solidarité est apparu dans un contexte bien particulier. “Quand on en parlait avec nos parents, ils nous disaient que ce n’était pas si extraordinaire que ça, que c’était l’après-guerre et ainsi de suite, raconte Francis Fondeville, 70 ans, lui aussi fils de Castor, aujourd’hui secrétaire d’un fonds d’archives sur le mouvement. C’est surtout notre génération à nous qui met en avant cet héritage.”
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