Vous évoquez souvent des moments oubliés, voir tus, de l’histoire de France.
Ce n’est pas forcément une occultation volontaire, c’est que ça n’intéressait pas. Mais surtout, dans notre profession, ces histoires ont été faites mais de façon séparée. Tardivement d’abord, c’est à dire qu’on a étudié séparément l’immigration, l’histoire africaine, l’histoire du Maghreb, et en particulier l’histoire algérienne. C’est cette connexion que j’ai essayé d’écrire, pour montrer que ce ne sont pas des histoires séparées, que ce sont des histoires connectées.