En réalité, ce n’est pas une gifle ou un coup de pied qui aurait malencontreusement entraîné la mort. L’homicide involontaire est l’exception, il représente moins de 10% des cas. Bien sûr, avant la mise à mort, il y a souvent eu des violences mais ces femmes ne meurent pas de coups. Elles meurent parce qu’on a décidé de les tuer. Dans plus de 90% des cas, il y a volonté de tuer. Pénalement ce sont des meurtres – parfois même avec préméditation, ce qu’englobe l’assassinat. En France en 2017, on tue sa femme en général de deux façons: on la plante au couteau ou on lui tire dessus avec une arme à feu, souvent un fusil de chasse.
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