« La fin de la bataille de Mossoul ne signifie pas la fin des souffrances pour les civils »

Même si c’est contraire au règlement du HCR, les autorités du camp ont autorisé l’installation de petits commerces de fortune, où les réfugiés peuvent se fournir en fruits et légumes, en petits gâteaux ou ustensiles de cuisine.

A la clinique du camp, le docteur Ahmed Yunis dit qu’il peut y avoir jusqu’à 400 consultations par jour. En général pour des accès de fièvre, des crises de diarrhée ou des maux de ventre.