« La fin de la bataille de Mossoul ne signifie pas la fin des souffrances pour les civils »

Des milliers de réfugiés n’ont aucun document d’identité. Leur en fournir de nouveaux n’est pas une mince tâche, explique Nicola Chiesa de Terre des Hommes Italie.

Jusqu’à présent, 23 familles qui vivaient dans le camp sont rentrées à Mossoul. Une en est revenue, disant qu’il n’y avait plus rien pour eux à Mossoul.

Reconstruction

Dans la ville-même, un semblant de vie normale reprend, en particulier dans le secteur oriental, le premier à avoir été repris à l’EI, en janvier, par les forces gouvernementales irakiennes et leurs alliés de la coalition internationale sous commandement américain.