Les 13-17 ans, plus nombreux à manifester leur intérêt à la page « Patrimoine Afrique » correspondent à un public scolaire (collégiens, lycéens), très présent sur les réseaux sociaux qui est aussi une cible pour les publicitaires.
Inclure de nouveaux usages dans la gestion du patrimoine
Il résulte de notre étude que la prise en compte des réseaux sociaux comme vecteur de sensibilisation, d’attractivité des sites classés par les ministères et organismes en charge de la conservation et de la mise en valeur du patrimoine permettrait en partie d’atteindre les objectifs fixés par l’Unesco dans le cadre d’inclusion des populations locales dans les systèmes de gestion du patrimoine. En utilisant Facebook et les réseaux sociaux en général, les acteurs du patrimoine pourraient mieux se rapprocher des publics et (re)placer la thématique du patrimoine au cœur de leurs préoccupations. Pour cela ils doivent s’appuyer sur les jeunes, cible de choix.