À défaut de pouvoir prévenir l’excision, la réparation chirurgicale peut permettre d’en réduire les conséquences. L’urologue français Pierre Foldès, qui a découvert l’excision lors d’un voyage au Burkina Faso dans les années 80, pratique de telles inverventions dans son cabinet de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).
Un sujet d’humour en Grande-Bretagne
L’excision est désormais connue du grand public et certains pays comme la Grande-Bretagne n’hésitent pas à s’emparer du phénomène. En 2004, on a pu voir lors d’un épisode de la très populaire série télévisuelle humoristique Nip/Tuck un chirurgien faire l’amour avec une patiente qui venait de subir une reconstruction du clitoris, afin de vérifier si l’opération avait ou non réussi.