Environ 60 000 femmes excisées vivent en France

Pour contrer cette pratique, l’une des approches les moins productives a été la pénalisation. Les procès de Bobigny dans les années 1980 contre les familles bambara et soninké vivant à Paris ont montré ses limites, comme décrit dans le livre L’Excision en procès, un différend culturel(L’Harmattan). La défense de l’intégrité du corps selon une perspective chrétienne et le rejet occidental d’une pratique non-occidentale n’ont pas montré davantage d’efficacité.