En Île-de-France, entre un et trois clubs par an et par département sont dans le collimateur des préfectures pour soupçons de radicalisation. Ces alertes émanent des services de renseignement ou de messages anonymes de licenciés, envoyés sur les plateformes dédiées. «Mais il s’agit parfois d’une seule personne qui pose problème, ce n’est pas forcément généralisé à tout le club, tempère Sylvain Havez, spécialiste au sein de la direction régionale de la Jeunesse et des Sports. Et il s’agit souvent d’une fausse alerte. En revanche, il y a aussi forcément des endroits où on ne sait pas ce qu’il se passe.»
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06.07.2017