«J’avais remédié aux manquements, je pensais que j’avais l’autorisation », plaide le gérant qui sera finalement condamné par le tribunal à… 1000 euros d’amende.
« Fermer une structure n’est jamais un plaisir, car ce sont tous les habitants d’un quartier, parfois déjà très enclavé, qui se retrouvent sans cet accès au sport, assure un proche du dossier. Là, il y avait des méconnaissances de la part des gérants, mais je ne pense pas qu’il y avait une réelle volonté d’embrigader les licenciés. Le communautarisme est davantage lié à la population qui fréquentait ce lieu. »