Comment le monde sportif lutte contre la radicalisation en Ile-de-France

Jusqu’à présent, «le mouvement sportif n’avait pas vraiment conscience du problème », regrette-t-il. « Et puis les présidents de clubs, de ligues ou de comités ne voulaient pas jouer à la police. Ils n’étaient pas préparés. Mais quand on sait le mal que peut faire un éducateur radicalisé, et que Daesh recommande de se maintenir en forme et de s’entraîner… »

Patrick Karam estime qu’il faudrait « vérifier l’honorabilité de chaque bénévole, au titre de la protection de l’enfance », en contrôlant qu’ils n’ont été ni condamnés pour des faits de nature sexuelle, ni fichés S.