Les crises intégrées à la normalité.
Les troisièmes crises dont tu peux te passer, ce sont celles qui ne sont que les symptômes de mutations plus profondes. La crise du logement, par exemple, n’est que l’illustration de l’augmentation des inégalités de patrimoine. Le problème n’est pas que les loyers sont trop élevés, mais que, d’une part, nous sommes poussés vers quelques villes de plus en plus gigantesques où s’empile la richesse et que, d’autre part, cette richesse n’est disponible que pour quelques uns, les autres étant priés de s’entasser là où il peuvent.