On peut dire la même chose de la « menace terroriste ». Sans nier la violence des massacres de Berlin, Paris ou Manchester, sans nier la détermination de ceux qui tuent et la nouveauté de leurs modes opératoires, tu peux les comparer avec les attentats que l’on a vécus à Paris en 1995 ou à ceux des groupuscules armés par les soviétiques dans les années 1970. Il y avait bien plus d’attentats à l’époque et ils ont tué beaucoup de monde4 et, il y a 40 ans comme aujourd’hui, tu as infiniment plus de chances de te faire aplatir par un 30 tonnes en allant au bureau à vélo que de te retrouver nez-à-nez avec un lecteur un peu trop zélé de Dabiq, le magazine de l’Etat Islamique.
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23.07.2019