A Bray-sur-Seine, le tollé de 2016, lorsque le maire avait choisi d’accueillir quelque 80 migrants contre l’avis des riverains, a laissé des traces.
– « Notre maire est mal barré » –
« Il n’y a pas eu de fillette violée, de grand-mère agressée… Mais en sourdine, il y a une petite musique qui dit +Il a fait venir des réfugiés, on les fera partir avec lui+ », s’étrangle le maire Emmanuel Marcadet, lunettes de soleil sur les cheveux.