Pensées notamment pour apporter une écoute aux femmes victimes de violences sexuelles sur la route migratoire, ces interventions profitent aussi aux Françaises car « les personnes vivant dans le village et les réfugiées ont parfois les mêmes problèmes malheureusement », explique Manon Lobet, bénévole pour GSF, évoquant les violences conjugales.
Mais pour l’instant, regrette-t-elle, la population locale « préfère les entretiens individuels » et évite les ateliers collectifs.