Le mélange des populations reste toutefois balbutiant, après un an d’activité.
A l’instar de l’atelier proposé par Gynécologie sans frontières (GSF), auquel participait une dizaine de femmes et adolescentes africaines, assises en « U » dans un appartement de la cité qui sert de local au « Lab ».
« Pourtant ce n’est pas un sujet que pour les réfugiées », déplore Rose Zinguerlet, seule Braytoise présente ce jour-là.