Le candidat de l’opposition Alain Carrasco (AGIR), patron de l’auto-école locale, estime que M. Marcadet a fait des réfugiés « son business ». « Quand les gens s’installent, ont un appartement tout de suite avec l’électroménager et tout, c’est sûr qu’on entend des choses pas sympa », relaie-t-il.
Elisabeth Longé, comme de nombreux riverains interrogés par l’AFP, est plus directe: « Ça crée des tensions dans la ville. Notre maire est mal barré, justement parce qu’il a attiré des réfugiés ».