Zeineb était la plus jeune, la plus proche de ses parents, celle qui s’en occupait le plus quand ils ont vieilli: « Je connais des gendres qui refusent que leur femme prennent la charge de ses parents mais mon mari n’était pas ce genre d’homme au contraire. Ce n’est pas une faveur de ma part, ce sont mes parents. Mais quand à leur mort, tu n’as le droit qu’à la moitié et que de leur vivant certains ont déjà largement profité des biens, tu ne peux pas ne pas ressentir l’injustice », a-t-elle conclu.
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