VIDEO| À Tournai, le « diable » lutte contre le racisme grâce au street art

Pour la fresque de la « Maison du diable », il lui a été demandé de faire traîner les choses, afin de susciter des questionnements parmi le public, soit auprès des passants qui ne partagent pas nécessairement cette forme de culture ou n’y sont pas sensibles, souvent parce qu’ils ne la connaissent pas. Aussi, tout en s’appliquant, Jamie-Lee n’hésite pas à expliquer, à qui lui pose la question, ce que représente cette fresque mais aussi tout le travail en amont, notamment avec les jeunes de Masure 14 sollicités pour compléter les bulles attribuées aux différents personnages.