Cette invitation à faire communier sous le pinceau de Tahar Ben Jelloun les religions dans une petite église trouve peut-être ses origines dans l’histoire familiale de Jérôme Clément. Lui, né d’un père catholique et d’une mère juive, baptisé catholique, à la demande de ses grands-parents paternels, mais qui n’a découvert qu’en 1996 seulement que ses grands-parents maternels sont morts déportés à Aushwitz.
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