Pour Tahar Ben Jelloun, le symbole que revêt la création de ces vitraux est d’autant plus nécessaire qu’en «ces temps troubles où l’Islam est détourné et associé à une entreprise criminelle, il est important qu’un artiste de culture musulmane puisse inviter la lumière à éclairer les esprits qui entrent dans ce lieu pour prier ou pour méditer.»
Son crédo, il l’écrit donc en arabe sur les vitraux de l’église: «paix et lumière», afin de traduire sa croyance profonde «en la spiritualité d’où qu’elle vienne.»
Pingback: Des vitraux réalisés par un musulman - Riposte-catholique