La directrice locale du Carillon, Sarah Gorog, nous a fixé rendez-vous dans un café « carillonneur », le Champ de Mars, entre le Cours Julien et la Plaine. Sur la porte vitrée, je compte sept petits pictogrammes, qui indiquent qu’ici on peut notamment accéder aux toilettes, trouver du wifi, boire un verre d’eau. Et même entreposer un bagage, même si ça n’est pas spécifié. Sarah n’est pas une travailleuse sociale, son univers jusqu’alors a été celui de l’événementiel et des bars – elle a régné sur le Polikarpov, puis sur un lieu de culture convivial, Les Demoiselles du Cinq, avant de s’absorber dans ce projet solidaire.
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