Ils sont moins bien payés. Lorsqu’ils atteignent «le sommet de l’échelle salariale», les descendants d’immigrés «semblent heurter un plafond de verre», dit l’édition 2017 du rapport «Emploi, chômage, revenu du travail». C’est-à-dire qu’ils ne peuvent prétendre à dépasser la rémunération qu’ils touchent déjà. Ainsi, 10% des descendants d’immigrés maghrébins les mieux payés perçoivent 18% de moins que les 10% des hommes sans ascendance migratoire les mieux payés.
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