Federica Mogherini, la chef de la diplomatie de l’UE, semble bien avoir opéré un revirement à ce sujet, posant l’installation d’un Etat stable en Libye en préalable à tout accord sur les migrants avec ce pays. Il reste désormais à savoir si ce changement de discours aura des effets sur la vie des migrants prisonniers de l’enfer libyen.
Publié le 22/07/2017 par Martin Lavielle sur le Nouvel Obs