L’Elysée a aussi commencé à sonder des plasticiens, danseurs et romanciers d’origine algérienne sur le sujet. « S’il s’agit juste d’un musée d’histoire, ce n’est pas intéressant, les Algériens de la ville n’iront pas, confie l’une des artistes interrogées. Il faut que ce soit un lieu vivant, en résonance avec d’autres formes. Et surtout ne pas faire un blockhaus contemporain qui serait loin, très loin, de leurs préoccupations. »
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