« C’est un enjeu majeur, martèle aujourd’hui ce spécialiste de la décolonisation. Il y a une nécessité de montrer, de démontrer, de faire circuler toutes ces mémoires blessées, de se regarder les uns, les autres, en miroir. » Son vœu ne restera sans doute pas lettre morte. D’après nos informations, le chantier vient d’être relancé par l’Elysée et la métropole de Montpellier (Hérault), où des études de faisabilité ont été lancées en juin.
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